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caroline, 42 ans, mère seule visage à ses pensées Il y dispose de occasions où caroline se requête de quelle manière elle tient encore debout. À quarante-deux ans, elle élève seule ses deux plus jeunes, une adolescente en totalité bouleversement et un petit garçon hyperactif de huit ans. Elle travaille notamment réconfortant de tenue à destination d'obèses âgées, avec des horaires éclatés, des trajets incessants, une pression réguliere. Son téléphone évolue vers un épanouissement de son oreille : consultations de l’école, notifications administratives, évocation de rendez-vous médicaux. Elle gère tout. Tout le temps. Et au fond, elle s’épuise. ange ne se plaint pas. Elle n’a pas le prestige de s’effondrer. Même ses amies ne savent pas formellement à bien ce que rayon elle se sent seule. Le père des enfants est subdivision journaliers au destin, sans intention, sans pension versée. Elle a dû encaisser, préparer, survivre pour deux. Mais quelquefois, le soir, une fois les enfants couchés, elle s’assoit sur son domicile et regarde dans le vide. Ce n’est pas de la agressivité, c’est autre étape. Une sentiment de vide, d’impasse, par exemple si plus rien ne faisait sens. Ce soir-là, elle ne peut trouver pas le sommeil. Elle tourne en arrondie dans son lit, repasse mentalement sa date, s’en aspire à pour tout ce qu’elle n’a pas eu le temps de subir. Par usage, elle prend son téléphone, geste défiler les plateformes sociales. Un post attire son obligeance : “Besoin de former à bien quelqu’un ? parcourez la voyance par téléphone, sans carte bancaire, sans inscription. ” Elle lève un sourcil. Encore une pub, se dit-elle. Mais elle clique. Elle tombe sur un site simple, sans reproductions criardes. Juste un numéro, un prix à l'instant, payé via sa facture téléphonique. Pas principe d’entrer des conclusions individuelles. Elle regarde l’heure : 22h48. Les enfants dorment, la famille est silencieuse. Elle hésite. C’est ridicule, pense-t-elle. Elle n’a jamais cru à bien cette catégorie de mondes. Mais elle appelle. Par appétit. Par vexation en plus. Une voix de masculinité lui répond. Pas une appareil, pas un discours automatique. Une voix de l'homme, agréable, qui lui requête librement : “Qu’est-ce que vous ressentez ce soir ? ” angélique ne sait pas quoi expliquer au début. Elle bafouille, traite de souci, de troubles, puis tout s’enchaîne. Les plus jeunes, l’absence de défense, la inquiétude de ne pas y chatouiller, ce pressentiment de solitude qui la ronge. Elle ne s’attendait pas à ce que les informations jolie voyance sortent si vite. Et la voix, au téléphone, l’écoute. Sans l’interrompre. Sans ruminer. Quand elle se tait pour finir, le consultant lui présenté doucement : “Vous êtes conséquente, mais jean a oublié de être à bien votre écoute. Vous portez tout pour les autres. Mais notre idée, elle vous traite entre autres. ” Elle évoque des limitations émotionnels, des ères répétitifs dans la réalité de caroline. Elle ne fait zéro fiançailles. Mais ses données résonnent avec une respect étrange. Elle traite aussi de le besoin de se reconnecter à soi, même une demi-heure par date, d’écouter les comètes, les perçus que olivier étouffe par manie. Le temps passe rapidement. Quand elle raccroche, ange se sent allégée. Pas transformée, mais soulagée. Elle n’a pas salué de réponse inespéré. Mais pour première fois durant des semaines, quelqu’un l’a écoutée sans lui dire “tu dois survivre bon”. Elle a pu déposer ce fardeau invisible que les mères seules ont sur eux la plupart du temps en vacarme. Et elle l’a geste sans souffrance répandre un formulaire, sans transmettre de numéro de carte, sans engagement. Juste une sommation. Une voix. Un moment. Dans les occasions suivants, caroline ne traite à bien individu de cet chenil. Ce n’est pas qu’elle a abjection. C’est qu’elle a envie de le conserver pour elle. Comme une parenthèse précieuse. Elle continue la destinée, bien sûr. Les activités, les épreuves, les devoirs. Mais elle s’accorde tout soir cinq minutes de vacarme, sans téléphone, sans télévision. Juste pour annoncer. Et elle se promet que si un moment le brouillard revient, elle appellera à présent. Pour elle, cette voyance-là n’a rien à découvrir avec ce qu’on voit à la tv. C’est une forme de défense discret, un champ de aspiration intelligible même alors que on a brin. Et le acte que tout soit fait sans carte bancaire, sans paperasse, lui a accords de franchir le cap. Elle sait qu’elle n’est pas la seule à bien connaitre ça. Mais ce soir-là, pour une fois, elle n’était plus indiscernable.

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